Ce bijou de l’automobile à l’histoire tumultueuse coule des jours tranquilles dans le plus bel écrin de vignes du bordelais. Et son puissant V8 continue de vrombir au grand plaisir de son propriétaire.
CHÂTEAU BIAC / Tony Asseily
En 1992, à la City de Londres où il travaillait comme banquier d’affaires, avant de devenir vigneron dans le bordelais en 2006 avec le rachat de Château Biac, Tony Asseily avait succombé à ce qu’il considérait comme le nec plus ultra du raffinement automobile britannique : une Jensen Interceptor S4 cabriolet de 1973. « Mon rêve » confie -t- il, pour cet élégant bolide racé conçu par un de ces artisans géniaux qu’on ne trouvait plus qu’en Angleterre.
Au départ, dans leur entreprise à West Bromwich dans la région de Birmingham, berceau de marques de renom comme Jaguar, Triumph ou Morgan, les frères Richard et Alen Jensen font alors du sur mesure. Durant les années vingt, ils rhabillent des voitures de série de leurs propres carrosseries de grand luxe pour des clients fortunés.Ces couturiers de l‘automobile métamorphosent ainsi des Morris, des Wolseley, des Singer, des Hornet…
Et leur réputation finit par traverser l’Atlantique jusqu’au jour où, à Hollywood, l’acteur vedette Clark Gable passe commande de leur nouveau superbe cabriolet 4 places sur châssis Ford V8. Un coup de pub d’enfer qui va les faire passer à la vitesse supérieure. Une vingtaine de Ford ainsi transformées vont retraverser l’Atlantique ! C’est décidé. De simple carrossiers, les frères Jensen vont devenir des constructeurs à part entière. Et en 1936, ils lancent leur propre auto, une Jensen S-Type qui fait sensation : elle est entièrement en aluminium. Mais en 1941 l’usine Jensen est réquisitionné pour l’effort de guerre et doit se convertir : dans la fabrication d’ambulances et de tourelles de char !
La paix revenue, les frères Jensen ont l’intuition que l’époque n’est plus au voitures d’exception produites à la main. Dans un premier temps, ils fabriquent 3500 carrosseries du nouveau cabriolet Austin A 70 qui va leur fournir une copieuse trésorerie pour financer le lancement en 1950 de leur première Jensen Interceptor propulsée par un Austin 6 cylindres 4 litres de 135 ch. Avec le même moteur, elle sera suivie en 1953 d’un coupé 541 très innovant : la première 4 places de série avec une carrosserie en polyester qui lui fait gagner 100 kg comparé à une caisse acier, et lui permet de rivaliser à 175 km/h avec les Jaguar XK 140.
Autre originalité qui suscite la curiosité : la grille de calandre est remplacée par un volet à ouverture automatique qui bascule selon que le moteur est chaud ou froid. En 1957, ce coupé passera à 152 ch, avec en plus 4 freins à disques, une des premières voitures de série à en être équipée. Puis grisés par le succès, les frères Jensen lancent le coupé 4 places CV8 propulsée à 225 km/h par un V8 Chrysler 6,3 litres de 305 ch. Le même utilisé par la superbe française Facel Vega. Mais l’aventure se termine par un échec cuisant en raison de la carrosserie au style raté.
L’entreprise ne survit alors qu’en redevenant sous traitant pour le montage de la Volvo P1800 et de la Sunbeam Tiger. Les frères Jensen vont se retirer, et les nouveaux propriétaires décident de relancer l’entreprise. Mais cette fois-ci, avec une belle voiture ! C’est un coup de crayon italien qui va sauver la marque avec la nouvelle Jensen Interceptor dessinée par le bureau de design Touring à Turin. En collaboration avec le carrossier Vignale qui enverra en Angleterre toutes les pièces embouties et peintes. A sa présentation au Salon de Londres en octobre 1966, ce puissant coupé Jensen Interceptor (au V8 Chrysler 6,3 l passé à 335 ch) fait sensation avec sa bulle en verre à l’arrière.
Ligne italienne, luxe à l’anglaise avec intérieur cuir-ronce de noyer, puissant moteur américain, le cocktail est gagnant cette fois-ci pour ce coupé Jensen Interceptor emmenant 4 passagers à 225 km/h. La Jensen Interceptor se vendra à 6500 exemplaires. Et fera parler d’elle en jouant les pionniers par deux coups d’éclat avec sa version FF : la première voiture de série équipée d’un système de freins ABS Dunlop dérivé de l’aviation. Et d’une traction intégrale aux quatre roues, quatorze ans avant la fameuse Audi Quattro.
Mais ce système très onéreux et compliqué alourdit considérablement la Jensen Interceptor FF qui roule moins vite, et coûte beaucoup plus cher sans être rentable pour autant ! Après seulement 318 exemplaires, Jensen finira par stopper sa production en 1971. En revanche, avec 509 ventes, la Jensen Interceptor cabriolet à capote électrique (comme celle de Tony Asseily) lancée en 1973 aura davantage la faveur des clients. Mais le premier choc pétrolier de cette même année va être fatal aux Jensen à la consommation qui frise les 20 litres au 100 km.
Heureusement le réservoir de 91 litres permet de faire face ! Mais c’est pire encore sur la Jensen Interceptor SP commercialisée en 1971 avec un 7,2 litres de 390 ch gavé par 3 carburateurs double corps ! A la hâte, la direction embauche comme directeur commercial Donald Healey (le créateur des superbes Austin Healey) et décide de lancer une petit roadster 2 places équivalent propulsé par un 2 litres 4 cylindres. Mais cette Jensen-Healey est nettement moins jolie et souffre surtout d’une mécanique Lotus très fragile. C’est le naufrage de trop. Et le couperet de la faillite tombera en 1976.
OENOTOURISME
LE VIGNOBLE
Vous voulez assister au plus beau spectacle offert dans le vignoble bordelais ? Direction vers le sud à Château Biac, au dessus de Cadillac. Dés le franchissement de la grille d’entrée, un panorama époustouflant s’offre à vous : un immense écrin de vignes en amphithéâtre plonge en pente douce vers les méandres de la Garonne s‘éloignant langoureusement à l’horizon. Avec, au milieu de ce tableau verdoyant, la blancheur des discrètes bâtisses du Château Biac. Superbe entrée en matière pour les autres bonnes impressions qui vous attendent au caveau…Pas étonnant qu’en 2006, Tony Asseily ait eu le coup de foudre pour cet endroit découvert en louant pour les vacances le gîte attenant au château.
« Mais au départ, même si en amateur éclairé de vins j’avais une belle cave chez moi à Londres, seul le cadre idyllique et la vue m’intéressaient pour venir m’y reposer. Pas le vignoble de 15 ha. Car mes activités dans la finance entre Londres et le Moyen Orient ne m’en laissaient pas le temps. » Mais pour les propriétaires qui, coup de chance, souhaitaient vendre, c’était tout ou rien. Soit. Et Tony Asseily s’est retrouvé vigneron, en étant épaulé par deux orfèvres en la matière, Christine Sourdes (oenologue à Château Guiraud) pour les blancs, et par la suite, Patrick Léon (ex directeur technique de Mouton-Rothschild) qui s’est pris au jeu pour une raison très personnelle.
« En 2008, où je n’avais toujours pas d’œnologue pour les rouges aux raisins encore vendus en vrac, je l’avais rencontré à un diner chez des amis qui m’avaient présenté à lui comme nouveau propriétaire d’un domaine en Côtes de Bordeaux. Une appellation sans prestige qui génère souvent des réactions de condescendance peu enthousiastes dans le gratin bordelais. « Ah bon, me dit-il…Et où ?… Quoi, Château Biac ! Mais je voulais l’acheter à une époque. Car c’est le plus fantastique vignoble que je connaisse en Côtes de Bordeaux, regroupant à la fois les terroirs d’excellence de la rive droite et de la rive gauche, des calcaires bleus comme Pétrus, des graves, des argiles, une exposition plein sud face à la Garonne qui coule vers le domaine et, comme le Gulf Stream, atténue ainsi les extrêmes de température, y compris les gelées, au cœur de cet écrin qui capte la chaleur la journée en été. Banco, je veux bien vous aider ! » Avec lui le domaine a été complètement restructuré sur 12 ans. Arrachage, replantage, avec cépages différents entre Merlot, Cabernet franc, Sauvignon et Petit Verdot selon la géologie du sous sol, sélection massales de grands crus, densification de 6000 à 9900 pieds à l’hectare pour que les racines descendent plus profond chercher l’eau, drainages, culture raisonnée, vendanges vertes pour réduire le nombre de grappes, nouveau chai avec vinifications micro parcellaires. Aujourd’hui, exploité par son fils Gabriel, sa fille Yasmina pour le marketing, son épouse Youmna et l’ingénieur agricole Gilles Rey, Château Biac récolte haut la main les fruits de ce travail titanesque. Et rentre dans la catégorie des grands. Capable de régaler les papilles, jeune. Et de se sublimer en longue garde. « On est devenu la Rolls des Cadillac » s’amuse, d’un petit sourire de satisfaction, Tony Asseily qui ne se lasse pas de siroter son thé en contemplant cette vue fabuleuse depuis sa terrasse de Château Biac. Son havre de paix.
Château Biac 2015/ Ce Premières Côtes de Bordeaux dégage un fruité charmeur et léger sur une trame de velours très aromatique par les 68 % de Merlot qui lui donnent toute sa rondeur savoureuse (35 €).
Château Biac 2016 / Un nectar qui fait preuve de puissance et d’équilibre entre un fruité délicat griotte-framboise et un boisé subtil relevé en finale par une petite note poivrée que lui procurent ses 11 % de Petit Verdot. (36€)
Secret de Château Biac 2014 / Un liquoreux soyeux et velouté sur des arômes frais d’abricot, de pain d’épices, d’orange ( 85% Semillon de 70 ans et 15% Sauvignon blanc) après 16 mois d’élevage en barriques.(34,50 €)
http://www.chateaubiac.com info@chateaubiac.com Visites sur rendez vous : 05 56 67 61 54
PROFITEZ EN POUR VISITER…
*Le château de Cadillac.Construit de 1598 à 1620, le château des ducs d’Epernon est un des premiers exemples d’architecture à la française, élevé et décoré pour le flamboyant Jean-Louis de Nogaret de La Valette, ancien mignon d’Henri III et très influent auprès d’Henri IV et Louis XIII. Les salles aux plafonds-poutres à la française et aux 8 cheminées monumentales richement décorées reviennent de loin : le château a été transformé en prison pour femme au XIX ème jusqu’en 1950 !
*Musée de la vigne et du vin. Installé à Cadillac dans une chartreuse du XVIIIème sur la route de Langon, il propose aussi à la vente les vins de la région à la dégustation et à la vente
*Saint Macaire. Charmant village médiéval entouré de remparts en haut d’une falaise dominant la Garonne avec son église romane au curieux plan en forme de trèfle, ses ruelles et sa place du Mercadiou aux passages couverts sous des arcades.
*Domaine de Malagar. La maison-musée de François Mauriac avec sa terrasse dominant les vignes. L’écrivain y vécut longtemps et écrivit dans son bureau qu’on visite Le Noeud de vipères.
Château de Roquetaillade. Imposante bâtisse féodale à Mazères, unique en son genre, construite en 1306 avec 6 énormes tours crénelées qui enserrent littéralement un puissant donjon central carré. Restauré par Viollet-le-Duc, le château comporte des pièces meublées d’époque classique avec de belles cheminées Renaissance, et une grande cuisine très spectaculaire.
*La Sauve, pour sa grandiose abbatiale romane de la Sauve-Majeure transformée en partie en carrière de pierres à la Révolution. Mais il en reste de superbes absides et chapiteaux sculptés et l’impressionnant clocher octogonal en haut duquel le panorama sur les vignes alentour vaut la peine de grimper les marches de l’étroit escalier à vis.
Bazas. Fief du célèbre bœuf de Bazas dont la viande délicate est appréciée des gourmets, la ville est aussi connue pour la place de la cathédrale gothique édifiée au 13ème et 14 ème, entourée d’habitations à arcades du 16ème et 17ème dont l’étonnante maison de l’Astronome avec son fronton de style flamand en escaliers. Ne surtout pas manquer la remarquable apothicairerie de l’ancien Hopital Saint-Antoine. Ici, vous entrez dans une pharmacie du XVIIIème siècle où rien n’a changé, ni le mobilier ni la centaine de pots en faïence bleue, blanche ou polychrome alignés sur les étagères.
*Ste Croix-du-Mont. Son vin liquoreux, son château de Tastes (actuelle mairie) à la terrasse avec vue panoramique vers les Pyrénées, et ses grottes en contrebas creusées dans un banc d’huitres fossiles du tertiaire.
*Loupiac Ses vins blancs célèbres déjà du temps des Romains dont il reste les vestiges de l’ancienne villa avec une piscine de 8m sur 12 au magnifique sol en mosaïque.
*Rions. Non loin de Cadillac au bord de la Garonne, cette petite cité médiévale où l’on entre par la porte fortifiée du Lhyan est un enchantement pour déambuler dans les ruelles au milieu des maisons anciennes et de la halle du 18 ème et longer ensuite le bucolique sentier des remparts.
*Chateau royal de Cazeuneuve. Demeure des seigneurs d’Albret, cette impressionnante forteresse du 11ème enserrée au 14ème d’une puissante enceinte devint le fief d’Henri de Navarre futur roi Henri IV dont on visite encore le cabinet de travail et la chambre ainsi que celle de la reine Margot. Des intérieurs magnifiquement meublés et toujours occupés aujourd’hui par les descendants de la famille d’Albret.
*Château de Malromé. C’est ici que mourut à 37 ans le peintre Henri de Toulouse-Lautrec après y avoir vécu quelques années avec sa mère. Dégustation et vente de vin du domaine.
*Verdelais. Ce charmant village de pierres blanches fut un grand centre de pélerinage sur la route de Compostelle comme en témoigne sa basilique reconstruite au 17ème. A voir non loin de là le moulin de Cussol qui fonctionne encore avec ses grandes ailes sur sa butte d’où l’on a une belle vue panoramique.
Le château de la Brède. C’est dans cette austère forteresse gothique entourée de douves que se ressourçait Montesquieu après ses voyages pour écrire les « Lettres persanes » et « De l’esprit des lois ». Dans le vestibule sont toujours alignées ses malles de voyage, et dans sa chambre restée meublée très simplement, la cheminée garde la trace de ses souliers quand il écrivait sur ses genoux devant le feu.
LE BORDEAUX ANCIEN
-vieilles portes Cailhau et de la Grosse Cloche
-la place de la Bourse emblème de l’essor de la ville au XVIII éme, autour de deux bâtiments à l’architecture en fer à cheval d’après les plans de l’architecte Gabriel qui créa aussi la place de la Concorde à Paris
-le musée du vin et du négoce à Bordeaux installé dans de belles caves voutées du quartier des Chartrons, du nom d’un ancien couvent de chartreux transformé au 15 ème siècle en entrepôt de vins
*L’Hotel de Lalande, 1779, un des plus beaux exemples de bâtiments anciens construits par la noblesse parlementaire bordelaise. Par son superbe escalier d’honneur en fer forgé, on accède aux pièces du musée des Arts décoratifs
-la tour Pey-Berland et sa vue panoramique sur la ville et ses clochers
-le Palais Rohan, ancien palais épiscopal du XVIIIème devenu l’Hotel de ville, avec, dans les jardins, le musée des Beaux-Arts sur l’art en Europe du 15 ème au 20ème siècle
-la place du Parlement et ses façades Louis XV autour d’une cour pavée
-l’Hotel particulier Frugès chef-d’oeuvre de l’art nouveau
-l’Abbatiale Ste Croix et sa façade de style roman saintongeais
-la perspective XVIII ème du quai des Chartrons où les négociants en vin s’édifièrent de somptueuses demeures, et les anciens hangars portuaires devenus des commerces et des restaurants
-l’esplanade des Quinconces face à la Garonne
-l’ancienne base sous marine allemande devenue centre d’expositions
*La Cité du vin, le nouveau musée de verre ouvert 135-150 quai de Bacalan à Bordeaux. Un voyage étonnant sur l’Histoire de nos ceps de vigne à travers le monde et l’élaboration de nos nectars avec dégustations sensorielles sous forme de devinettes.
*Château Carbonnieux pour son grand cru, et son étonnant musée de voitures anciennes dont des teuf teuf rarissimes comme des Donnet Zedel torpedo, Doriot-Flandrin-Parant, ou Wacheux Phaeton
*Chateau de Portets, arrivez dans ce château-jardin par bateau depuis Bordeaux 2 fois par semaine /05 56 67 12 30 www.chateaudeportets.fr
*Cave Leognan Magnum, un endroit à Leognan où l’on peut déguster presque tous les vins de Pessac-Leognan sans faire la tournée des châteaux qui sont parfois fermés
05 56 64 74 08www.leognanmagnum.com
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POUR UNE HALTE UN CHOIX S’IMPOSE
LA RÉFÉRENCE DE L’HÔTELLERIE DE LUXE BORDELAISE
Situé sur la Place de la Comédie, en plein Triangle d’or de la ville, et avec un parking en sous sol permettant de vous garer en toute sécurité, l’InterContinental Bordeaux – Le Grand Hôtel est une légende de l’hôtellerie depuis plus d’un siècle. Ancien hôtel particulier érigé en 1789 par Victor Louis, cet édifice classé monument historique est devenu un hôtel pour la première fois en 1904. Sa façade néo-classique aux colonnades de style corinthien fait face au majestueux Grand-Théâtre de Bordeaux, achevé dix ans plus tôt par le même architecte. Au centre de ce quartier au riche passé mais en plein renouveau, l’InterContinental Bordeaux – Le Grand Hôtel est le point de départ rêvé pour partir à la découverte du Bordeaux d’hier et d’aujourd’hui.
L’InterContinental Bordeaux – Le Grand Hôtel possède 130 chambres, dont 44 suites. 21 d’entre elles offrent une vue spectaculaire sur le Grand-Théâtre (L’Opéra National de Bordeaux) et la place de la Comédie. Son décor élégant et feutré, de style XVIIIème siècle et Empire, a été imaginé par Jacques Garcia. Le célèbre décorateur d’intérieur a sublimé l’esprit néo-classique et cossu des lieux par son inimitable touche baroque.
Aux rênes du restaurant gastronomique doublement étoilé : le chef britannique vedette Gordon Ramsay. Le restaurant Le Bordeaux, sur la place de la Comédie, propose une carte faite uniquement de produits locaux et de saison.
Autre lieu emblématique de l’hôtel, le Rooftop : Cadre élégant et décontracté à la fois, panorama unique à 360° sur la cité, atmosphère conviviale mais exclusive : ce lounge à ciel ouvert est « the place to be ».
Aux niveaux supérieurs de l’établissement, un espace de détente et de relaxation unique : le Spa Guerlain. Ce lieu à part fait plonger dans un univers tout en volupté évoquant les thermes romains, magnifié par la griffe de Jacques Garcia. Le bassin de relaxation est la pièce-maîtresse de ce spa doté de 8 cabines dont 2 doubles ainsi que d’un sauna, hammam, d’un espace fitness et d’un salon de thé.
Le Grand Hôtel compte 13 salons dédiés aux réceptions, réunions et autres séminaires, pouvant accueillir des événements jusqu’à 250 personnes. D’une surface totale de 1.000 m², ils bénéficient tous de la lumière naturelle du jour et sont associés à 4 majestueux foyers de 55 à 120 m².
L’équipe de quatre concierges, tous Clefs d’Or, de l’InterContinental Bordeaux – Le Grand Hôtel ouvre les portes de la ville et de sa région. Ils conçoivent des programmes sur mesure pour faire connaître les trésors locaux – parmi lesquels, bien entendu, le plus célèbre vignoble du monde. Par le biais de leur Conciergerie, ils font pénétrer leurs clientèles dans l’univers des grands crus traditionnellement fermé au grand public.
Témoin et acteur privilégié de la foisonnante histoire de Bordeaux et de son exceptionnel renouveau, l’InterContinental Bordeaux – Le Grand Hôtel est l’endroit idéal pour vivre intimement la capitale girondine.
InterContinental Bordeaux – Le Grand Hotel
2-5 place de la Comédie, 33000 Bordeaux, France
Hotel Phone: + 33 (0)5 57 30 44 44
www.bordeaux.intercontinental.com[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]