Dans l’histoire très mouvementée de la marque, cette Rover P6 racée et luxueuse symbolisait un renouveau qui n’a pas suffit à éviter sa disparition. Mais son aura perdure dans le bordelais.
CHATEAU BIAC / Famille Asseily
« A chaque naissance, c’est dans cette Rover P6 que j’ai ramené mes trois enfants à la maison ! Pour moi c’est donc une voiture pas comme les autres, pleine de souvenirs…Et aujourd’hui, c’est mon petit fils Luca de deux ans qui s’assoit sur mes genoux pour prendre le volant en faisant vrrroumm ! » Tony Asseily a beau avoir fait carrière comme banquier à Londres, il n’en reste pas moins un grand sentimental quand il s’agit de sa famille. Et de cette Rover P6 3500 de 1971 qu’il s’était achetée à l’époque comme voiture de tous les jours pour se rendre à ses bureaux de la City.
Aujourd’hui cette Rover P6 de 1971 est encore dans un état de fraicheur incroyable. Et elle coule des jours tranquilles au sud de Bordeaux dans le vignoble en Cadillac Premières Côtes de Bordeaux de Château Biac, à la vue fabuleuse dominant la Garonne pour laquelle Tony Asseily a eu le coup de foudre en 2006. A sa sortie en 1963, cette élégante Rover P6, à l’intérieur cossu très british cuir et bois, était une révolution.
Révolution technique : avec la première caisse autoporteuse de la marque et un nouveau moteur 2 litres 98 ch à arbre à cames en tête. Et stylistique : par rapport à la précédente P5 nettement plus statutaire dans le style britannique très conventionnel (elle était entre autres la voiture officielle du 1er ministre). Ses qualités nouvelles lui vaudront le très convoité Prix de la Voiture européenne de l’année en 1964 qui rajeunira l’image un brin vieillotte et conservatrice de la marque.
« Je la trouvais moderne et belle, encore aujourd’hui, et plus discrète que les étincelantes Jaguar, ce qui me convenait très bien à l’époque », explique Tony Asseily. Et sous le capot, son V8 Buick 3,5 l de 167 ch (une nouveauté à partir de 1968) ronronnait agréablement tout en étant capable de belles accélérations. Rover qui a longtemps fait partie des joyaux de la couronne britannique comme Rolls ou Jaguar a démarré en 1896 à Coventry dans la production de vélos, puis de motocyclettes, avant de lancer en 1904 sa première voiture, la Rover 8.
Dans les années vingt l’entreprise souffre de la concurrence des Citroën produites à la chaine pour moins cher et court droit à la faillite. Deux ingénieurs chevronnés dans l’automobile, Spencer et Maurice Wilks sont embauchés en 1929 pour redresser la marque. Et avec succès : ils ne la quitteront qu’en 1962 et 1963 ! Entretemps, les deux frères font prendre à Rover le cap des voitures de standing avec un nouveau moteur 6 cylindres, rationalisent la production dans une nouvelle usine, et les bénéfices reviennent en 1933.
L’année 1937 est marquée par le lancement de la nouvelle berline de luxe P2, surnommée par la presse « la Rolls des voitures légères ». Durant la guerre, Rover sera réquisitionné pour la fabrication de moteurs et de carlingues d’avions. En 1948, vont sortir la nouvelle P3, simple évolution de la précédente, et surtout, un futur best seller, conçu par Maurice Wilks, qui marquera l’histoire : l’indestructible tout terrain Land Rover (qui sera suivi en 1970 par le Range Rover, à l’agrément et au confort d’une berline de luxe).
Rustique, « le Land » à tout faire qui fera le tour de la terre entière est ultra léger grâce à sa carrosserie en aluminium qui utilise les stocks de tôles destinées initialement aux avions de guerre ! Puis en 1963 arrivera la Rover P6, la berline chic qui séduira par sa nouvelle ligne moderne Tony Asseily. Et sera un succès commercial avec 322 302 exemplaires jusqu’en 1977. Mais Rover, qui avait été racheté en 1966 par Leyland Motors propriétaire de Triumph, se retrouve englobé en 1968 dans une nouvelle fusion avec British Motors (Austin-Mini, Jaguar, Morris, MG).
Hélas, ce nouveau groupe British-Leyland va crouler sous une bureaucratie incapable de rationaliser toutes ces marques, des grèves incessantes, plus une qualité en baisse qui nuit à sa réputation et à sa compétitivité face aux marques japonaises de plus en plus envahissantes.« Avec ses défauts et ses pannes à répétitions, la Rover P6 était surnommée la « voiture du vendredi » se souvient Tony Asseily. Sous entendu, sa fabrication était bâclée par les ouvriers pressés de partir en week end ! »Pour améliorer sa fiabilité, la firme britannique va conclure un accord de coopération technique avec Honda.
Le constructeur nippon qui prend 20% du capital en 1982 se frotte les mains de pouvoir ainsi contourner les quotas européens d’importations de japonaises, en fabriquant sur place en Angleterre. Mais en 1994, British Aerospace, qui était devenu l’actionnaire majoritaire de Rover Group (rebaptisé ainsi après la vente de Jaguar à Ford en 1984), veut revendre pour se recentrer sur son activité aéronautique. BMW, intéressé par l’opportunité de devenir un grand constructeur généraliste, rachète Rover group. Espoir déçu malgré les sommes englouties : les synergies et la relance espérée se font trop longtemps attendre. Et en 2000, le constructeur allemand préfère arrêter les frais.
BMW revend Land Rover à Ford (qui lui même le cèdera en 2008 à l’indien Tata toujours propriétaire, aussi de Jaguar), et Rover au consortium d’investisseurs Phoenix mené par l’ancien dirigeant de l’entreprise John Towers . Le début de la fin. Ce nouveau sauvetage se soldera par un naufrage. Et Rover baissera définitivement le rideau en 2005. Au final, seules les Minis s’en sortiront indemnes en devenant une marque de BMW avec de nouveaux modèles à succès. Et le label des élégants roadsters MG racheté par le chinois Shanghai Automobil Industry Corporation est aujourd’hui une marque de… SUV. Pauvre Angleterre !
LA MÊME MARQUE AUJOURD’HUI
LE NOUVEAU RANGE ROVER TOUJOURS AU TOP
Depuis son apparition en 1970 en inaugurant le premier ce créneau des 4×4 de luxe, le Range Rover poursuit sur sa lancée avec ce modèle de la cinquième génération encore plus impressionnant, puissant, et fastueux. Mais en se pliant à l’air du temps où l’appétit de son gros V8 4,4 l biturbo de 510 ch ,qui le frappe d’un méga malus de 40 000 €, l’oblige à s’adjoindre des versions hybrides plus politiquement correctes. Avant une version 100% électrique en 2024…lire la suite
OENOTOURISME
LE VIGNOBLE
Vous voulez assister au plus beau spectacle offert dans le vignoble bordelais ? Direction vers le sud à Château Biac, au dessus de Cadillac. Dés le franchissement de la grille d’entrée, un panorama époustouflant s’offre à vous : un immense écrin de vignes en amphithéâtre plonge en pente douce vers les méandres de la Garonne s‘éloignant langoureusement à l’horizon. Avec, au milieu de ce tableau verdoyant, la blancheur des discrètes bâtisses du Château Biac. Superbe entrée en matière pour les autres bonnes impressions qui vous attendent au caveau…Pas étonnant qu’en 2006, Tony Asseily ait eu le coup de foudre pour cet endroit découvert en louant pour les vacances le gîte attenant au château.
« Mais au départ, même si en amateur éclairé de vins j’avais une belle cave chez moi à Londres, seul le cadre idyllique et la vue m’intéressaient pour venir m’y reposer. Pas le vignoble de 15 ha. Car mes activités dans la finance entre Londres et le Moyen Orient ne m’en laissaient pas le temps. » Mais pour les propriétaires qui, coup de chance, souhaitaient vendre, c’était tout ou rien. Soit. Et Tony Asseily s’est retrouvé vigneron, en étant épaulé par deux orfèvres en la matière, Christine Sourdes (oenologue à Château Guiraud) pour les blancs, et par la suite, Patrick Léon (ex directeur technique de Mouton-Rothschild) qui s’est pris au jeu pour une raison très personnelle.
« En 2008, où je n’avais toujours pas d’œnologue pour les rouges aux raisins encore vendus en vrac, je l’avais rencontré à un diner chez des amis qui m’avaient présenté à lui comme nouveau propriétaire d’un domaine en Côtes de Bordeaux. Une appellation sans prestige qui génère souvent des réactions de condescendance peu enthousiastes dans le gratin bordelais. « Ah bon, me dit-il…Et où ?… Quoi, Château Biac ! Mais je voulais l’acheter à une époque. Car c’est le plus fantastique vignoble que je connaisse en Côtes de Bordeaux, regroupant à la fois les terroirs d’excellence de la rive droite et de la rive gauche, des calcaires bleus comme Pétrus, des graves, des argiles, une exposition plein sud face à la Garonne qui coule vers le domaine et, comme le Gulf Stream, atténue ainsi les extrêmes de température, y compris les gelées, au cœur de cet écrin qui capte la chaleur la journée en été. Banco, je veux bien vous aider ! » Avec lui le domaine a été complètement restructuré sur 12 ans. Arrachage, replantage, avec cépages différents entre Merlot, Cabernet franc, Sauvignon et Petit Verdot selon la géologie du sous sol, sélection massales de grands crus, densification de 6000 à 9900 pieds à l’hectare pour que les racines descendent plus profond chercher l’eau, drainages, culture raisonnée, vendanges vertes pour réduire le nombre de grappes, nouveau chai avec vinifications micro parcellaires. Aujourd’hui, exploité par son fils Gabriel, sa fille Yasmina pour le marketing, son épouse Youmna et l’ingénieur agricole Gilles Rey, Château Biac récolte haut la main les fruits de ce travail titanesque. Et rentre dans la catégorie des grands. Capable de régaler les papilles, jeune. Et de se sublimer en longue garde. « On est devenu la Rolls des Cadillac » s’amuse, d’un petit sourire de satisfaction, Tony Asseily qui ne se lasse pas de siroter son thé en contemplant cette vue fabuleuse depuis sa terrasse de Château Biac. Son havre de paix.
Château Biac 2015/ Ce Premières Côtes de Bordeaux dégage un fruité charmeur et léger sur une trame de velours très aromatique par les 68 % de Merlot qui lui donnent toute sa rondeur savoureuse (35 €).
Château Biac 2016 / Un nectar qui fait preuve de puissance et d’équilibre entre un fruité délicat griotte-framboise et un boisé subtil relevé en finale par une petite note poivrée que lui procurent ses 11 % de Petit Verdot. (36€)
Secret de Château Biac 2014 / Un liquoreux soyeux et velouté sur des arômes frais d’abricot, de pain d’épices, d’orange ( 85% Semillon de 70 ans et 15% Sauvignon blanc) après 16 mois d’élevage en barriques.(34,50 €)
http://www.chateaubiac.com info@chateaubiac.com Visites sur rendez vous : 05 56 67 61 54
PROFITEZ EN POUR VISITER…
*Le château de Cadillac.Construit de 1598 à 1620, le château des ducs d’Epernon est un des premiers exemples d’architecture à la française, élevé et décoré pour le flamboyant Jean-Louis de Nogaret de La Valette, ancien mignon d’Henri III et très influent auprès d’Henri IV et Louis XIII. Les salles aux plafonds-poutres à la française et aux 8 cheminées monumentales richement décorées reviennent de loin : le château a été transformé en prison pour femme au XIX ème jusqu’en 1950 !
*Musée de la vigne et du vin. Installé à Cadillac dans une chartreuse du XVIIIème sur la route de Langon, il propose aussi à la vente les vins de la région à la dégustation et à la vente
*Saint Macaire. Charmant village médiéval entouré de remparts en haut d’une falaise dominant la Garonne avec son église romane au curieux plan en forme de trèfle, ses ruelles et sa place du Mercadiou aux passages couverts sous des arcades.
*Domaine de Malagar. La maison-musée de François Mauriac avec sa terrasse dominant les vignes. L’écrivain y vécut longtemps et écrivit dans son bureau qu’on visite Le Noeud de vipères.
Château de Roquetaillade. Imposante bâtisse féodale à Mazères, unique en son genre, construite en 1306 avec 6 énormes tours crénelées qui enserrent littéralement un puissant donjon central carré. Restauré par Viollet-le-Duc, le château comporte des pièces meublées d’époque classique avec de belles cheminées Renaissance, et une grande cuisine très spectaculaire.
*La Sauve, pour sa grandiose abbatiale romane de la Sauve-Majeure transformée en partie en carrière de pierres à la Révolution. Mais il en reste de superbes absides et chapiteaux sculptés et l’impressionnant clocher octogonal en haut duquel le panorama sur les vignes alentour vaut la peine de grimper les marches de l’étroit escalier à vis.
Bazas. Fief du célèbre bœuf de Bazas dont la viande délicate est appréciée des gourmets, la ville est aussi connue pour la place de la cathédrale gothique édifiée au 13ème et 14 ème, entourée d’habitations à arcades du 16ème et 17ème dont l’étonnante maison de l’Astronome avec son fronton de style flamand en escaliers. Ne surtout pas manquer la remarquable apothicairerie de l’ancien Hopital Saint-Antoine. Ici, vous entrez dans une pharmacie du XVIIIème siècle où rien n’a changé, ni le mobilier ni la centaine de pots en faïence bleue, blanche ou polychrome alignés sur les étagères.
*Ste Croix-du-Mont. Son vin liquoreux, son château de Tastes (actuelle mairie) à la terrasse avec vue panoramique vers les Pyrénées, et ses grottes en contrebas creusées dans un banc d’huitres fossiles du tertiaire.
*Loupiac Ses vins blancs célèbres déjà du temps des Romains dont il reste les vestiges de l’ancienne villa avec une piscine de 8m sur 12 au magnifique sol en mosaïque.
*Rions. Non loin de Cadillac au bord de la Garonne, cette petite cité médiévale où l’on entre par la porte fortifiée du Lhyan est un enchantement pour déambuler dans les ruelles au milieu des maisons anciennes et de la halle du 18 ème et longer ensuite le bucolique sentier des remparts.
*Chateau royal de Cazeuneuve. Demeure des seigneurs d’Albret, cette impressionnante forteresse du 11ème enserrée au 14ème d’une puissante enceinte devint le fief d’Henri de Navarre futur roi Henri IV dont on visite encore le cabinet de travail et la chambre ainsi que celle de la reine Margot. Des intérieurs magnifiquement meublés et toujours occupés aujourd’hui par les descendants de la famille d’Albret.
*Château de Malromé. C’est ici que mourut à 37 ans le peintre Henri de Toulouse-Lautrec après y avoir vécu quelques années avec sa mère. Dégustation et vente de vin du domaine.
*Verdelais. Ce charmant village de pierres blanches fut un grand centre de pélerinage sur la route de Compostelle comme en témoigne sa basilique reconstruite au 17ème. A voir non loin de là le moulin de Cussol qui fonctionne encore avec ses grandes ailes sur sa butte d’où l’on a une belle vue panoramique.
Le château de la Brède. C’est dans cette austère forteresse gothique entourée de douves que se ressourçait Montesquieu après ses voyages pour écrire les « Lettres persanes » et « De l’esprit des lois ». Dans le vestibule sont toujours alignées ses malles de voyage, et dans sa chambre restée meublée très simplement, la cheminée garde la trace de ses souliers quand il écrivait sur ses genoux devant le feu.
LE BORDEAUX ANCIEN
-vieilles portes Cailhau et de la Grosse Cloche
-la place de la Bourse emblème de l’essor de la ville au XVIII éme, autour de deux bâtiments à l’architecture en fer à cheval d’après les plans de l’architecte Gabriel qui créa aussi la place de la Concorde à Paris
-le musée du vin et du négoce à Bordeaux installé dans de belles caves voutées du quartier des Chartrons, du nom d’un ancien couvent de chartreux transformé au 15 ème siècle en entrepôt de vins
*L’Hotel de Lalande, 1779, un des plus beaux exemples de bâtiments anciens construits par la noblesse parlementaire bordelaise. Par son superbe escalier d’honneur en fer forgé, on accède aux pièces du musée des Arts décoratifs
-la tour Pey-Berland et sa vue panoramique sur la ville et ses clochers
-le Palais Rohan, ancien palais épiscopal du XVIIIème devenu l’Hotel de ville, avec, dans les jardins, le musée des Beaux-Arts sur l’art en Europe du 15 ème au 20ème siècle
-la place du Parlement et ses façades Louis XV autour d’une cour pavée
-l’Hotel particulier Frugès chef-d’oeuvre de l’art nouveau
-l’Abbatiale Ste Croix et sa façade de style roman saintongeais
-la perspective XVIII ème du quai des Chartrons où les négociants en vin s’édifièrent de somptueuses demeures, et les anciens hangars portuaires devenus des commerces et des restaurants
-l’esplanade des Quinconces face à la Garonne
-l’ancienne base sous marine allemande devenue centre d’expositions
*La Cité du vin, le nouveau musée de verre ouvert 135-150 quai de Bacalan à Bordeaux. Un voyage étonnant sur l’Histoire de nos ceps de vigne à travers le monde et l’élaboration de nos nectars avec dégustations sensorielles sous forme de devinettes.
*Château Carbonnieux pour son grand cru, et son étonnant musée de voitures anciennes dont des teuf teuf rarissimes comme des Donnet Zedel torpedo, Doriot-Flandrin-Parant, ou Wacheux Phaeton
*Chateau de Portets, arrivez dans ce château-jardin par bateau depuis Bordeaux 2 fois par semaine /05 56 67 12 30 www.chateaudeportets.fr
*Cave Leognan Magnum, un endroit à Leognan où l’on peut déguster presque tous les vins de Pessac-Leognan sans faire la tournée des châteaux qui sont parfois fermés
05 56 64 74 08www.leognanmagnum.com
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POUR UNE HALTE UN CHOIX S’IMPOSE
LA RÉFÉRENCE DE L’HÔTELLERIE DE LUXE BORDELAISE
Situé sur la Place de la Comédie, en plein Triangle d’or de la ville, et avec un parking en sous sol permettant de vous garer en toute sécurité, l’InterContinental Bordeaux – Le Grand Hôtel est une légende de l’hôtellerie depuis plus d’un siècle. Ancien hôtel particulier érigé en 1789 par Victor Louis, cet édifice classé monument historique est devenu un hôtel pour la première fois en 1904. Sa façade néo-classique aux colonnades de style corinthien fait face au majestueux Grand-Théâtre de Bordeaux, achevé dix ans plus tôt par le même architecte. Au centre de ce quartier au riche passé mais en plein renouveau, l’InterContinental Bordeaux – Le Grand Hôtel est le point de départ rêvé pour partir à la découverte du Bordeaux d’hier et d’aujourd’hui.
L’InterContinental Bordeaux – Le Grand Hôtel possède 130 chambres, dont 44 suites. 21 d’entre elles offrent une vue spectaculaire sur le Grand-Théâtre (L’Opéra National de Bordeaux) et la place de la Comédie. Son décor élégant et feutré, de style XVIIIème siècle et Empire, a été imaginé par Jacques Garcia. Le célèbre décorateur d’intérieur a sublimé l’esprit néo-classique et cossu des lieux par son inimitable touche baroque.
Aux rênes du restaurant gastronomique doublement étoilé : le chef britannique vedette Gordon Ramsay. Le restaurant Le Bordeaux, sur la place de la Comédie, propose une carte faite uniquement de produits locaux et de saison.
Autre lieu emblématique de l’hôtel, le Rooftop : Cadre élégant et décontracté à la fois, panorama unique à 360° sur la cité, atmosphère conviviale mais exclusive : ce lounge à ciel ouvert est « the place to be ».
Aux niveaux supérieurs de l’établissement, un espace de détente et de relaxation unique : le Spa Guerlain. Ce lieu à part fait plonger dans un univers tout en volupté évoquant les thermes romains, magnifié par la griffe de Jacques Garcia. Le bassin de relaxation est la pièce-maîtresse de ce spa doté de 8 cabines dont 2 doubles ainsi que d’un sauna, hammam, d’un espace fitness et d’un salon de thé.
Le Grand Hôtel compte 13 salons dédiés aux réceptions, réunions et autres séminaires, pouvant accueillir des événements jusqu’à 250 personnes. D’une surface totale de 1.000 m², ils bénéficient tous de la lumière naturelle du jour et sont associés à 4 majestueux foyers de 55 à 120 m².
L’équipe de quatre concierges, tous Clefs d’Or, de l’InterContinental Bordeaux – Le Grand Hôtel ouvre les portes de la ville et de sa région. Ils conçoivent des programmes sur mesure pour faire connaître les trésors locaux – parmi lesquels, bien entendu, le plus célèbre vignoble du monde. Par le biais de leur Conciergerie, ils font pénétrer leurs clientèles dans l’univers des grands crus traditionnellement fermé au grand public.
Témoin et acteur privilégié de la foisonnante histoire de Bordeaux et de son exceptionnel renouveau, l’InterContinental Bordeaux – Le Grand Hôtel est l’endroit idéal pour vivre intimement la capitale girondine.
InterContinental Bordeaux – Le Grand Hotel
2-5 place de la Comédie, 33000 Bordeaux, France
Hotel Phone: + 33 (0)5 57 30 44 44
www.bordeaux.intercontinental.com[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]